où allez-vous ?

Permettez qu'on vous pose cette question. Nous imaginons le dialogue qui s'ensuit :

- Je vais à mon travail, à mes distractions, je fais mes courses.

- Oui, vous savez bien où vous dirigez vos pas sur la terre. Mais nous voulons vous demander où va votre vie ? Quel est votre but final ?

- Je l'ignore, d'ailleurs je ne me pose pas de question et j'ai bien assez de problèmes pour l'immédiat.

- Vous ne vous posez pas de question ? Ne savez-vous pas que vous pouvez quitter ce monde d'un moment à l'autre ?

- Oui, nous allons tous vers la mort, c'est inévitable.

- Certainement, mais de l'autre côté de la mort, qu'y a-t-il ?

- Je n'en sais trop rien, j'espère que tout ira bien.

- Vous n'en savez rien, vous n'avez qu'une vague espérance et vous arrivez à vivre dans cette incertitude au sujet d'un fait inévitable ? Vous pouvez, le soir, vous endormir sans que cette pensée vous trouble : où est-ce que je me réveillerai ?»

Où allez-vous ? Nous pouvons vous le dire : vous allez vers Dieu, vous allez Le rencontrer.

«Après la mort, le jugement». Comment rencontrerez-vous ce Dieu Saint ? Il n'a que deux places à vous donner : le ciel près de lui, ou l'enfer loin de lui. Où allez-vous ? vers le ciel, près de Jésus ? ou vers l'enfer en compagnie de Satan ?

comment le savoir ?

L'Évangile nous l'apprend: il y a un seul chemin pour aller vers Dieu. Le rencontrer comme un Père et entrer au ciel. Ce chemin c'est Jésus Christ ; Il l'a dit: « Je suis le chemin, la vérité et la vie ; nul ne vient au Père que par moi». (Évangile selon Jean, chapitre 14, verset 6).




 

Dieu lui-même vous invite :

«Regarde j'ai mis aujourd'hui devant toi la vie et le bonheur, la mort et le malheur... Choisis la vie, afin que tu vives». (Deutéronome ch. 30, v. 15 et 19).

pas le temps

C'est une excuse fréquente chez ceux qui entendent l'Évangile : «Je suis pressé; je n'ai pas de temps à perdre pour parler religion et lire la Bible.

- À quoi donc sert votre temps ?

- Eh! dites vous, j'ai mes affaires, mon métier, mon ménage. Il faut bien que je gagne ma vie, que je prenne soin de ma famille.

- Bien sûr, mais est-ce que vous n'avez rien de mieux à donner aux vôtres ? Les intérêts de l'âme sont-ils moins importants que ceux du corps ? La vie présente vous absorbe-t-elle au point de vous faire oublier qu'il y a une existence future dont le sort est à régler dès maintenant ? Votre travail quotidien vous accapare! Mais vous l'interrompez bien pour vos repas, pour votre sommeil. Vous donnez du repos à votre corps et à votre esprit; est-ce que vous ne voulez pas nourrir votre âme ? Et quant à l'emploi de vos loisirs, aux distractions que vous savez bien vous accorder de temps en temps, laissez-nous vous dire que ce sont de pauvres choses à côté des joies riches et durables : la connaissance de Jésus, l'amour de Dieu, l'espérance chrétienne qui viennent remplir le coeur.

Et puis, viendra le jour, que vous le vouliez ou non, où il vous faudra prendre le temps de mourir. Serez-vous prêt alors pour rencontrer Dieu ?

Ne voulez-vous pas vous y préparer maintenant ?

L'Évangile vient vous dire de sa part:

« Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle». (Évangile selon Jean, chapitre 3, verset 16).

«Venez, et plaidons ensemble, dit l'Éternel : si vos péchés sont rouges comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige». (Ésaïe, chapitre 1, verset 18).

«Le sang de Jésus Christ son Fils nous purifie de tout péché» (1 ère épître de Jean, chapitre 1, verset 7).